Disparition !
Disparition de la planète Terre (ou, plus exactement, de ses habitants, c’est-à-dire, nous!)
Il semble que nous rêvons tous de créer un monde meilleur, ou au moins de sauver le monde que nous avons, mais si nous écoutons les groupes et les institutions qui prétendent viser cette réussite, qui entendons-nous? Des sectes de tout acabit qui nous abreuvent de messages générateurs d'obstacles à ce but, plus que noble, nécessaire à sauver notre peau.
Par exemple, examinons, au sens large, toute la famille écolo. Leur unique solution, pour sauver le monde, consiste à combattre la pollution. Comment s’y prendre? Ils poussent les gouvernements à éliminer les voitures, qui empestent l’atmosphère avec les émanations d’essence. Naturellement, ces mêmes gouvernements ne doivent pas construire de nouvelles routes. Cette logique favorise le blocage des rues par des dos d’âne, pour nuire aux automobilistes, ces pollueurs. Récemment, ils proposent d’arrêter la consommation de viande, dont la production brûle trop de ressources. Notons que oui, nous économiserions en broutant de l’herbe, l’été, puis en mangeant délicatement les feuilles aux arbres, l’automne venu. De plus, nous nous libérerons de la tondeuse et du souffleur, grands consommateurs d’énergie souvent tirée de l’essence maudite.
Mais alors, souhaitent-ils sacrifier les vieux pour libérer la voie publique? Voient-ils ces personnes âgées déambuler, avec leurs déambulateurs, en essayant de se frayer une petite place dans le transport en commun? Les jeunes, disciples de la vie en vert, les pousseront pour accélérer la cadence, appliquant littéralement le cri, Marche ou crève! Voilà un bel Éden! Les plus extrémistes de cette secte prônent de ne plus faire d’enfants. Donc, plus de vieux, plus d’enfants, pour qui veut-on sauver la planète, au juste?
Que dire de tous ceux, dans des ministères et des institutions de haut savoir (dits de…), qui combattent la distinction entre les sexes, allant jusqu’à nier l’existence de ceux-ci? Pourtant, la nature, que ce soit les plantes, les animaux et les humains, fonctionne pour reproduire les espèces et produire l’avenir avec la division en deux sexes. Prétendre éliminer les sexes s’accorde mal avec le développement de l’espèce, ou d’ailleurs de toutes les espèces. La planète vit à travers les créatures qui y vivent, et qui l’enrichissent. Certains porte-parole semblent viser l’élimination des hommes. Certes, l’éducation des femmes demeure fondamentale, mais est-ce bien sensé de déplorer l’insuccès scolaire des jeunes hommes, et d’agir comme s’ils n’existaient pas? Imaginer un monde sans hommes est aussi invraisemblable que d’en imaginer un sans femmes, du moins dans une perspective d’assurer l’avenir de l’espèce. Plutôt que de préserver une société, les chartes et les programmes des gouvernants la détruisent. La discrimination ne peut jamais être positive, si elle priorise des groupes à la mode définis par des critères artificiels! Une minorité visible? Des autochtones plus autochtones que les autres habitants, sachant que le mot ne veut dire au fond que né sur la terre?
Préserver la planète suppose aussi préserver tout ce que la civilisation a réussi à construire. Nos ancêtres, en Europe puis ici, ont trimé dur pour ériger des villes, inventer des machines et des organisations sociales. C’est leur travail, vraiment à la sueur de leur front, qui a défriché des terres et laissé en héritage à leurs descendants une agriculture capable de tous nous nourrir. Nos parents et nos grands-parents, après la Deuxième Guerre mondiale, se sont privés, et se sont soumis à des impôts, pour instaurer des programmes sociaux, en éducation et en médecine entre autres. Voici que des migrants envahissent notre territoire pour simultanément insulter leur société d’accueil, raciste, et phobe, et fermée, et parasiter les moyens que nos ancêtres ont construits depuis tant de générations. Attaquer nos racines détruira la planète et l’humanité. Attaquer nos racines élimine la floraison du monde de l’avenir. Les ancêtres des migrants râleurs ne leur ont pas laissé des richesses, contrairement aux nôtres.
Difficile d’imaginer que privilégier des groupes, en acceptant l’incompétence et en faisant fi de l’érudition et du talent puisse aider la survivance de l’espèce. La planète a besoin de personnes talentueuses, qui seront souvent des hommes blancs comme les ancêtres qui ont fondé notre société.
Tant mieux si nous pouvons construire un monde dans lequel chacun aura sa place, et dans lequel chacun contribuera à la préservation du monde selon ses connaissances et ses compétences! Accepter les différences, que ce soit celles du sexe, ou de la couleur, ou d’autres manières ne veut pas dire classer ces différences dans des catalogues à part. Entretenir les différences mène au conflit, à la guerre comme en Ukraine, au gaspillage et à l’érosion de la nature. Présentement, des groupes se chamaillent pour leurs privilèges, sans tenir compte des racines du monde, comme les conducteurs d’un véhicule qui se bousculent pour prendre le volant. Le véhicule se retrouve dans le fossé, probablement en feu, et les passagers paieront le prix de l’incurie des prétendus conducteurs!
Chers amis bien-pensants! Vous vous acharnez à combattre l’ordre déjà établi par la nature, mais qui aura le dernier mot? Évidemment la nature! Vous pensez que seuls les changements climatiques peuvent détruire la terre, ne vous illusionnez pas, ce sont vos pensées et vos paroles incongrues que vous lancez à tout vent qui va détruire la terre! Des manifestations météorologiques vont devenir de plus en plus destructives, mais le brouillard des bien-pensants menacera toujours plus notre planète que les gaz à effet de serre! Intégrez à votre régime de vie la paix, l’amour, la tolérance et cessez de souligner les distinctions entre les individus! Comme l’adage dit, «Que le meilleur gagne!»
Voilà mon humble perception de la vie! Intégrons à nos vies la nature, observons les comportements des animaux qui s’acceptent indépendamment de leur race et qui mangent dans la même assiette! Cessons d’instaurer des programmes selon les races ou la couleur de la peau et permettons à tout le monde de bénéficier d’eux! S'il vous plaît, n’utilisez plus le mot discrimination positive, la discrimination c’est toujours du racisme face à un groupe! Je vous suggère, chers bien-pensants, de rouler quelques culbutes pour remettre en place vos esprits! Sauvez la planète, bien sûr, mais analysez vos comportements et peut-être vous comprendrez que vous vous êtes engagés dans la mauvaise direction pour sauver la planète Terre!