Ma biographie

Nathalie Besson a étudié en Lettres, et en radiophonie, elle a travaillé au Mouvement Desjardins, et elle a fait du travail social. Elle a aussi été maman à temps plein. Elle pratique, ou a pratiqué, la décoration, la peinture à l’huile, le jardinage, et, plutôt paradoxalement, elle préfère les livres qui réfléchissent sur le sens de la vie, et celui de la mort, aux romans.

Ses romans sont disponibles en librairie, c’est-à dire dans les sites, car elle publie électroniquement: son éditeur, éditions fpc, est lié à Prologue numérique. On trouve La Mort, c’est triste, Mais, La vie, c’est pas drôle, Les Aventures de Miaoumé: Miaoumé et son chaton Cannelle, Les Aventures de Miaoumé, tome 2: Miaoumé et les réfugiés, Les Aventures de Miaoumé, tome 3 : Miaoumé et l’école des chats, et L’Armée des lièvres (une aventure de Miaoumé)

Elle écrit le soir, d’habitude, à son ordi, avec Libre Office ou Facebook, dans son bureau, entourée de ses tableaux et de ses dictionnaires. La musique joue doucement, puis, l’inspiration vient. Nathalie produit deux romans en feuilleton, sur Facebook, qui alterne de semaine en semaine. Quand ils seront finis, éditions fpc les publiera ! Quand elle écrit, c’est comme si une autre personne écrivait à travers elle.

Nathalie déteste que son mari vienne lui parler sans avertir (grrr !). Sa philosophie est simple: ne faîtes pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu’ils vous fassent, et, comme auteur, soyez fidèle à vous-même, n’essayez pas d’écrire pour plaire ou pour vendre !

Les livres de Nathalie l’ont marquée. Le premier l’a beaucoup fait réfléchir, car il relate les dernières années d’une personne âgée. Cette histoire encourage les gens, de tout âge, à faire attention à leurs parents vieillissants, et à ne pas oublier qu’ils sont des individus à part entière malgré les faiblesses physiques ! Les Miaoumé sont plus légers, ils libèrent, et ils appartiennent au fond au genre fantastique. Mais Nathalie ne se laisse pas enfermer dans un genre, SF, fantastique, policier. «Il faut écrire ce que nous dicte notre imagination, la classification, c’est pour les timides !»


Commentaires